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De la souveraineté de la formation et de l'enseignement révolutionnaire... pour faire éclore un autre cycle historique en Afrique...

Par le Shemsu Maât Grégoire Grégoire Biyogo

En effet, "in fine", pour remédier à la charge d'aliénation dominante qui caricature encore tant notre Histoire, la fait balbutier sans jamais démarrer, pour rompre avec'immobilisme économique et politique, la paupérisation et l'ignorance galoppantes qui aveuglent les peuples, et pour dépoussiérer les routes naguère unifiées et fraternelles gagnées désormais par la rouille des disputes sauvages, les lambeaux de division, et pour dénouer les noeuds de haine et de confusion, la solution efficace est la formation, l'enseignement. D'autant que les bases de l'unité et de la solidarité continentales viendront de cette exigence de renouvellement des vues, des connaissances de ces peuples, lesquels appartiennent à des Antiiquités triangulées : Le berceau anté-dynastique, le Berceau égyppto-nubien et le Berceau arabique et phénicien nègres. Ces trois foyers sont indissoociables, ils procèdent d'un même rameau. Dans la même orientation, il importe de promouvoir les langues anciennes d'Afrique : en l'occurrence l'égyptien pharaonique. Puis s'engager dans la construction d'un Etat de droit à travers l'édification de l'Etat fédéral. Un Etat indépendant, protégeant son territoire, ses ressources, ses positions stratégiques et militaires. Mettre en oeuvre dans cet espace favorable à la compétitivité, des économies modernes, en exploitant nous-mêmes les richesses colossales dont regorge le continent africain. Enfin en perçant dans le domaine de la recherche (scientifique, médicale, industrielle, technologique) et de l'équilibre Développement/Norme écologique...

© Copyright 2013 Catarina Van Daele pour KODMEDIA. Reproduction interdite.

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