
AU SUJET DE DIEU, DE JESUS...
Bien cher Titine Mangassa, et autres "mécréants", notre Page Facebook est une page où s'interroge l'Esprit, lequel entend débattre avec science, rigueur, exigence de méthode, pondération de jugement, dans le dessein permanent d'instruire et d'offrir des connaissances contrôlées, accréditées. En priorité en direction des doctorants, enseignants et chercheurs que nous enseignons, puis en direction de tous les étudiants, tous ceux qui entendent se cultiver, pour autant que nous ayons pris l'engagement comme le Fara et shemsu Maât Akhenatona d'ouvrir la Sia à tous. Mais comme dans toute science, il y a une déontologie.
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1-Nous autres diopiens avons pour guide la vérité maâtique, celle qui jure avec la mathématique, la démonstration attestée des faits, l'argumentataion logique des énoncés, et une vérité qui ne procède ni par justification ni par légitimation du mensonge, mais pselon des preuves corroborées par la science, ou par la démonstration logique. Ici, nous nous attachons à la sapience du Maître : " Armez-vous de science jusqu'aux dents".
2-Le second axiome est que nous, diopiens, nous inclinons devant l'Etre Suprême, communément appellé Dieu, et ne heurtons jamais la foi de ceux qui le prient, en plus des textes scripturaires qui par précaution, prescrivent de ne point engager des discussions oiseuses et polémiques sur la question.
3-De ces deux axiomes s'ensuit une première série de réactions :
-Qui entend discuter avec nous sur la question si savante et si érudite de Dieu ? Cets personnes en sontt-elles un tant soit peu informée ? Sont-elles qualifiées ? A quelle Ecole de pensée appartiennent-elles ? Leurs sources sont-elles seulement crédibles ? Les discute-t-elles au-demeurant ou les accrédite-elles comme absolument certaines ? En quoi tiennent-elles qu'elles sont avérées ?
-Est-il nécessaire de donner des lumières à ceux qui, par déficit d'information, offensent Dieu ? Comment enseigner ces choses scélestes à des personnes prétendant avoir une idée toute faite sur un sujet dont, de toute évidence , elles ignorent tout ? Ces deux séries de questions ne nous permettent pas à la vérité,d'instruire sur la question, tant celle-ci ne s'accommode ni de polémique, ni de blasphème et d'outrage. Pas plus que la vétusté et déficit de la documentation et des sources des éventuels débattants ne peuvent garantir des informations actualisées, et avérées..
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4-En revanche, une voie intermédiaire s'offre à mon esprit : enseigner sur la question de l'historicité de quelques personnages bibliques ou même sur l'herméneutique de leur énoncés aux élèves, doctorants, chercheurs et professeurs n'ayant de ces grandes questions célestes qu'une documentation unique, qu'une source exclusive, et bientôt sectaire et sclérosée : celle qu'enseigne la science normale, la science ordinaire dans les Universités officielles, sans encore avoir la capacité de révolutionner des connaissances demeurées jusqu'ici immuables, statiques, sans progrès ni invention. Des connaissances ne sachant plus résoudre les problèmes de notre temps, ni rendre compte de leur complexité, de leur subtilité.
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5-Ainsi donc, ce soir, je commencerai avec la question préjudicielle sur laquelle un très grand nombre d'honnêtes gens - en dehors de ceux qui, tout aussi nombreux prient - souhaitent être instruites : l'historicité de Jésus...
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A-DEFINITIONS ET CONSIDERATIONS PRELIMINAIRES SUR LA DISCUSSION AUTOUR DE L'HISTORICITE DE JESUS.
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I-L'épistémologie du discours historique définit habituellement l'historicité comme l'ensemble des preuves rationnelles, matérielles et quantifiables qui attestent l'existence historique indubitable d'un fait. Ces preuves doivent donc être établies, "irréfutables", formelles, testables, palpables, qui peuvent être apportées par l'archéologie, l'histoire ancienne, la science dans la variété de ses discours internes, par des témoignages concordants, des documents iconographiques, des sources croisées. Au nombre de ces sources, on trouve :
1-Les textes hiéroglyphiques et l'attestation de l'Egypte pharaonique.
2-Les découvertes archéologiques et les dépositions attestées par l'histoire.
3-Les découvertes de la science moderne (analyse ADN, biologie moélculaire, génétique des population, anthropologie physique,
géographie, histoire, paléontologie...)
4-L'argumentation logique, fondée sur la démonstration.
5-Les sources savantes des auteurs anciens (arabes, grecques...)
6-Les sources iconographiques (peintures rupestres, dessins, statues, tableaux...)
7-Les sources orales du fait de la concordance des versions et des récits fondateurs (mythes, récits étiologiques...)
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II-DES LIMITES DE LA DISCUSSION SUR L'HISTORICITE DE JESUS POUR ETABLIR SA VERITE.
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1-Pour autant que la Bible soit un ouvrage référant largement à l'Histoire, il ne s'agit nullement d'un Livre d'histoire ! Et discuter de l'historicité de ses énoncés comme si c'était un ouvrage d'histoire est une erreur de méthode. En méthodologie, et en épistémologie de la recherche, nous disons avec Feyerabend que les deux objets sont "incommensurables", c'est-à -dire qu'ils n'ont guère de statut et de nature identiques. Or, l'on ne peut comparer et évaluer que deux choses comparables et évaluables ! En s'assurant rigoureusement de l'unité de l'objet et de la méthode. La vérité de la Religion ne peut être prouvée ni même invalidée par la science, pas plus que la vérité de la science ne peut être validée ou invalidée par la Religion, en tant que discours sur l'Absolu.
2-Ainsi donc, établir l'existence de Dieu par des arguments d'Histoire est un non-sens, une absurdité logique, comme il est absurde de supposer qu'après une telle opération, plus personne ne remettrait la divine existence en cause !
3-Pour autant, je n'y renoncerai pas, ayant à l'avance écarté l'objection des doctes, qui réfuteraient à juste titre l'exercice qui m'est demandé. Je vais quand même m'y autoriser, en ne tombant pas sous le coup de cette objection. Mais en m'efforçant de donner des gages d'historicité à Dieu... je ne crois point l'exercice inutile.
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III-HISTORICITE DE JUSUS : DERNIER ETAT DES CONNAISSANCES
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1-L'un des derniers textes publiés sur l'historicité de Jésus s'intitule est une production américaine, The Jesus Family Tomb, laquelle a
été traduite en français sous le titre : Le Tombeau de Jésus, Paris, J'ai Lu, 2007, 251 p.
-Il est dû à un documentaliste professionnel, Simcha Jacobovici, né en Israël en 1953, et à Charles Pelligrino, un chercheur français, déjà auteur de plusieurs articles scientifiques publiés dans des Revues spécialisées.
​2- Faisons remarquer que toutes les preuves considérées à ce jour comme formelles sur le Christ sont étonnamment rejetées par l'histoire et par certains archéologues. Ainsi des célèbres Reliques, u morceau de Croix du Christ, ou encore du suaire de Turin, dont l'authenticité est autant attestée que contestée par nombre de savants et archéologues.
Ainsi des quatre évangiles dits canoniques (Mathiieu, Marc, Luc et Jean) qui, bien qu'ils soient écrits par des personnages dont l'historicité est formellement attestée, certains historiens n'accréditent pas toujours l'existence historique de Jésus, le sujet de leur témoignage, prétextant que les récits qu'ils rapportent ne seraient pas authentiques !
De même, le Livre des Actes qui témoigne de nombreux faits historiquement attestés, jusqu'aux persécutions et aux martyres est aussi récusé par ces mêmes historiens, au prétexte que celui au sujet de qui ces livres parlent n'est point cité par les historiens contemporains...
LE CONTENU DU TEXTE. L'ouvrage prétend détenir la première preuve matérielle irréfutable sur l'existence de Jésus, laquelle s'appuie sur des tests ADN, des preuves archéologiques formelles,à la suite d'une découverte frappante à Jérusalem d'une crypte abritant une dizaine de tombeaux, avec des noms fort réputés :
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IV-LA GRANDE REVELATION : lLE FILS UNIQUE ISSU DU PERE ET IDENTIQUE AU PERE.
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1-Dieu et Fils unique parce que le seul, l'unique, à avoir vu Dieu, à l'avoir de ce fait unique, révélé au monde comme tel, dans la splendeur infinie de sa Miséricorde.
Akhenaton naguère l'a contemplé, Moïse le disciple fidèle
d'Akhenaton a reçu de Lui la Loi dans sa puissance et sa sainteté. Mais Le Fils unique qui est lui-même Dieu en cela, est celui en qui et par qui la "Grâce et la Vérité " (v 17) du Père se sont manifestées au Monde :
Verset 18 : "Personne n'a jamais vu Dieu ; DIEU LE FILS UNIQUE, qui est dans le sein du Père, est celui qui l'a fait connaître"
2- C'est que l'un et l'autre sont interchengeables, identiques, le Fils requiert tous les attributs du Père, dont la Gloire éclate dans le Fils. Et le Mystère fut élucidé, comme jamais auparavant, comme jamais dans aucun autre Livre écrit ou inspiré. Comme seul l'Esprit le révèle à la Raison, dans ces versets qui font la parousia de Jésus-Dieu :
Verset : 8-Jean 14 : versets 8 Ã 11 :
" Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père. Et dès maintenant, vous le connaissez, et vous l'avez vu ".
Philippe lui dit : "Seigneur, montre-nous le Père, et cela nous suffit. Jésus lui dit : Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m'as pas connu, Philippe ! Celui qui m' a vu a vu le Père. Comment dis-tu : Montre-nous le Père ? Ne crois-tu pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi ? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même; et le Père qui demeure en moi, c'est lui qui fait les oeuvres. Croyez-moi, je suis dans le Père et le Père est en moi."
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C-DEMONSTRATION I.
Référence du Tombeau à 10 ossuaires : IAA 80/500-509, lequel recevait pour la première fois depuis plus de 2000 ans la visite humaine, celle des enquêteurs. Même si l'équipe des scientifiques de la BBC lui a consacré 5 mn dans un Documentaire titré The Body in Question.
-Le tombeau est typique des Juifs du 1er siècle de notre ère.
-Les inscriptions sont les suivantes : première ossuaire 80-505 : "Maria" appellation kémite originelle par la suite latinisée de la Myriam biblique.
-Deucième ossuaire : 50-502 a pour inscription "Yosa" qui est le nom hébraïque de Joseph, époux civil (humain) de Maria, Mère de
Jésus.
-Puis la troisième (50-503), LA PLUS ATTENDUE ICI DNS LA DISCUSSION, avec l'inscription fulgurante : en araméen : "Yeshua bar Yoseph" que l'on traduit par "Jésus fils de Joseph".
-La quatrième et dernière parle de Judas.
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DEMONSTRATION II. Sur la fiabilite de la découverte : méthode.
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1-Le matériel génétique sur lequel le prélèvement ADN a été effectué suffit-il pour crédibiliser cette trouvaille faramineuse ?
2-L'ADN nucléaire des os était impossible à récupérer.
3-L'ADN mitochodrial (issu du cytoplasme) a pu lui, être extraite, et l'quipe a travaillé sur cette base
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DEMONSTRATION III. Résultats.
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1-Les mitichondries sont des organelles intracellullaires de l'ordre du micro-mètre. L'information génétique stokée a donné les résultats suivants :
2-IAA 80-503 ! Marqueur 120 : CCAGTAGGAT
3-IAA 80-500 : Marqueur 120 : ACCCAATAGG .....
-En Israël même, les géochimistes Amnon Rosenfeld et Shimon Ilani ont alors effectué une analyse électronique sur un échantillon de la patine de l'ossuaire de Jacques, frère biologique de Jésus.
-Puis un second échantillon du même ossuaire à Ontario à Toronto où un autre test au microscope électronique a été fait.
4-Conclusion des recherches et état des connaissances sur cette question de l'historicité de Jésus.
